(co)éditions
revue EvidenZ n°2
« de la ludicité »
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extraits & critiques sur les sites:
co-édition Sens & Tonka éditeurs - EvidenZ, 2002
240 pages avec iconographies - format : 16,5 X 19 cm - couverture non pelliculée
Revue publiée avec l'aide du Centre National du Livre
ISSN : 1631-9095 - ISBN : 2-84534-044-3
administrateur : Franck Laroze
comité de rédaction : Boris Belay, Adrian Smith, Franck Laroze, Ferdinand Gouzon
responsables de l'iconographie: Sébastien Jamain & Adrian Smith
illustrations originales: Gréco Alice & Exit (p.60 & 92) de Michèle Kahn
« Formé autour d’un noyau de personnes extrêmement soudées, le projet d’EvidenZ consistait à interroger les rapports entre politique et esthétique, communauté et singularité, et diverses pratiques disciplinaires entre elles. L’expérience a débouché sur de nouvelles rencontres qui ont porté le collectif à interroger la notion de jeu dans le devenir-esthétique imminent (apparition du virtuel, arts plastiques, littérature et philosophie, critiques théorico-politiques du « spectacle » et du « simulacre », etc.). Ces recherches ont constitué l’essentiel du contenu du numéro 2 de la revue & des performances qui en ont découlé. L’avenir de la revue & du collectif tendra vers une radicalisation des pratiques textuelles & performatives interactives, pour en faire de plus en plus une sorte de « roman polyphonique objectif », c’est-à-dire non plus écrit ou composé par un narrateur omniscient et exclusif, mais articulé autour du montage et de l’influence réciproque des diverses écritures textuelles & numériques mises en jeu dans son dispositif. »
Mehdi Belhaj Kacem & Franck Laroze, 2002
de la ludicité
« Lucidité est l’anagramme de ludicité. L’aventure d’EvidenZ se propose d’être le plus excitant des jeux existants, concurrençant absolument tout ce que le monde présent offre de divertissements et loisirs, tout autant que d’entreprises radicales ou de productions intellectuelles ou littéraires subversives. Cette lucidité est aussi bien la pointe actuelle de l’action révolutionnaire et de la pensée qui est son inchoatif (…). Dans l’espace de jeu qu’ouvrent les joueurs-tricksters d’EvidenZ, ce n’est plus perdre au jeu qui menace mais de perdre le jeu. » Mehdi Belhaj Kacemsommaire
De la ludicité Mehdi Belahj Kacem & Jérome Bertin - Notion de mesure Fransisco Ruiz de Infante - C’est un jeu, ce n’est pas un jeu Élie During - Boarder Daniel Foucard - Tricksters of Mercy Chloé Delaume - L’Artnimal Jérôme Bertin - Le Prématuré Damien MacDonald - For real, It’s not real Ferdinand Gouzon - Oeil3 Philippe Boisnard - Politique extatique du Trickster Joseph Flamand - Tolérance 0 Sylvain Courtoux - Writers with Attitude Catherine Malabou - KN Marion Picker - HB ou le jeu à l’envi Boris Belay - Le jeu comme essence du vivant Franck Laroze - L’Au-décès Fabrice Bothereau - Ludus Suspectus Adrian Smith - Game @ux leurres Franck Laroze - Nichts jenseits des Nihilismus Jean-Luc Nancy(Paris, 13 février 2002)
galerie photos complète sur le site de Timothéé Rolin
Revue EvidenZ 1 & 2
Fondateur: Mehdi Belhaj KacemN°1: Du désoeuvrement, éditions Tristram, Auch, 1999
Directeur de la publication: Mehdi Belhaj Kacem - Comité de rédaction: Boris Belay, Mehdi Belhaj Kacem, Adrian Smith
N°2: De la ludicité, Sens & Tonka éditeurs, Paris, 2002, publié avec l'aide du Centre National du Livre
Co-directeurs de la publication: Mehdi Belhaj Kacem & Chloé Delaume - Administrateur: Franck Laroze - Comité de rédaction: Boris Belay, Ferdinand Gouzon, Franck Laroze - Responsables de l'iconographie: Sébastien Jamain & Adrian Smith
Théorie du triKster
EvidenZ
Mehdi Belhaj Kacem
Sens & Tonka éditeurs, 2002 - collection 10/vingt
114 pages - format : 10,1 X 20 cm - couverture non pelliculée
photo de couverture: Jeanne-Marie Sens
ISBN : 2-84534-050-8
Extraits:
Introduction à l'espace d'EvidenZ: « EvidenZ est d'abord un jeu. Il n'est qu'une revue accessoirement. La forme-revue, de même que la forme-livre, la forme-disque, la forme-film, servent de prétexte à faire des choses ensemble, et à faire entendre ensemble les choses. Ce qui compte, est moins d'écouter la folie de chacun, que la cacophonie des névroses et hystérie de tous. Il s'agit, sine qua non, de vivre les choses avant de les écrire, les filmer ou les configurer; de même, les filmer, les écrire, les configurer, n'ont pour fonction que d'installer les conditions dans lesquelles elles pourront être vécues. Là où l'accès à l'expérience n'en finit plus de se dérober à tous, sinon leur être barré tout à fait, l'art ne peut faire à moins, et même doit, pour tâche principale, se fixer, de l'entrouvrir à nouveau, au besoin: de le violer. »4° de couverture: « Qu'est-ce qu'un trickster ? Je livrerai en vrac quelques unes de ses ententes plus immédiates et intuitives: homme aux mille ruses, passe-muraille, criminel divin, scanner cronenbergien, joueur télépathe, et j'en passe. Sauf les péjoratives: le trickster, serait un faux-cul purement et simplement. Donc faux-cul, jésuite, tricheur hystérique, petit malin. Autant marquer le pas d'office sur ce qui cloche dans le trickster, il prête son flanc à la facilité, à la lâcheté et à l'aporie. »
De la Communauté virtuelle
EvidenZ
Mehdi Belhaj Kacem
Sens & Tonka éditeurs, 2002 - collection 10/vingt
43 pages - format : 10 X 20 cm - couverture non pelliculée
photo de couverture: Jeanne-Marie Sens
ISBN : 2-84534-049-4
Texte extrait du séminaire Evénement et Répétition prononcé le 3 mai 2001 au Collège International de Philosophie,
à l'occasion du colloque Violence et Politique, organisé par la revue Le Philosophoire.
Extrait (4° de couverture): « Intersubjectivif est un pléonasme particulièrement pompeux, par les temps qui courent, et la modernité philosophique qui est la nôtre, dans la mesure où il n'y a de sujet que communautaire, et de communauté que de la subjectivation. »